On était samedi. Enfin. Le soleil matinal de New York venait de se réveiller, et il était temps que ses habitants en fassent de même...

Les rayons du soleil qui venait de se lever sur N.Y tirèrent la belle Oliva des bras de Morphée, après une soirée arrosée qui s'était finis dans les bras d'un beau prince charmant comme à son habitude . La jolie brune tira sa couette en laissant le garçon dormir car lui aussi avait prit une bonne cuite, de toute façon elle le virait quand il serait réveillé . Elle se leva de son lit, en petite tenue, les stores n'avaient pas étés baissés pour les raisons suivantes, Olivia aimait que les rayons du soleil viennent doucement la réveiller, et puis après avoir commencer une nuit de folie il fallait dire qu'elle pensait largement à autre chose . La vue des grattes ciel par la fênetre était incroyable, qui a dis que l'argent ne faisait pas le bonheur ? C'est vrai lorsque vous êtes plein aux as vous changez directement de discour, cette phrase n'est bonne que pour remonter le moral aux pauvres gens normaux et sans fortune, mais c'est compréhensible, on ne peut pas leur en vouloir après tout . La fêtarde ouvrit la fênetre pour aérer, elle s'étira lentement et mit sa main devant sa bouche lorsqu'elle bailla . Se dirigeant vers la cuisine, elle ouvrit un placard et y tira un bol ainsi qu'une cuillère et un couteau, dans le second placard elle attrapa un sachet de brioches et le pot de nutella . Ouvrant la brioche ,qu'elle avait sortit du paquet, en deux la miss planta le couteau dans le chocolat et lz tartina généreusement sur la patisserie sans se soucier du bruit qu'elle faisait et qui réveillerait tôt ou tard sa conquète du soir .

Après avoir dévoré son petit déjeuner, car " dévorer " était le seul adjectif capable de montrer à quel point la brune avait faim, elle retourna dans sa chambre et réveilla de son plein gré le jeune homme, qui quitta le lit de force en boxer Dim . Olivia réunit ses vêtements qui étaient éparpillés sur le sol et les balanca sur le lit faisait comprendre à son aventure qu'il était tant de quitter son luxueux appartement . Il s'executa donc laissant la belle seule dans son appartement, qui en profita pour prendre une douche et s'habiller .


Lorsqu'elle fut prête elle prit un sac, de marque bien sur, et y fourra quelques affaires, nottament l'objet indispensable ... La carte de crédit pardit ! L'accesoire indispensable pour toutes les riches demoiselles pourrits gatées . Elle franchit le seuil de la porte, ferma à clée et monta dans sa porsche dernier cri en direction du centre commercial, où ses amies et elle s'étaient donnés rendez-vous pour faire du shopping .

{TEST REUSSI}

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Je Verouille